Travaux publics : les risques liés aux réseaux existants
Les travaux publics peuvent effectivement présenter un risque de casser les réseaux existants, surtout lorsqu’il s’agit de travaux de terrassement ou de fouille. Les réseaux sensibles sont généralement ceux qui transportent des liquides ou des gaz sous pression (par exemple, les canalisations d’eau potable, les conduites de gaz naturel, les conduites de produits pétroliers, etc.). Ces réseaux peuvent être particulièrement sensibles aux dommages et aux fuites.
Le risque de casser les réseaux existants
Lors de travaux publics, il est possible que les riverains subissent des interruptions temporaires dans leur alimentation en eau ou dans les canalisations d’assainissement. D’autres réseaux, tels que les câbles électriques ou les câbles de télécommunication, peuvent également être endommagés lors de travaux de terrassement. Les réseaux de télécommunication, en particulier, peuvent être fragiles et nécessitent une manipulation très délicate.
Les solutions face à ces risques
Plusieurs solutions aux risques s’offrent à nous. Tous les salariés doivent avoir suivi une formation qui permet de comprendre la sécurité sur un chantier (L’AIPR). Cette formation est nécessaire pour l’ensemble des personnels intervenant en terrassement ou en approche des réseaux aériens comme les conducteurs d’engins, une personne de l’encadrement et tous les opérateurs intervenant sur un chantier de travaux urgents.
Il faut aussi faire une demande pour commencer les travaux. Avant de commencer un chantier il faut déclarer tous les concessionnaires (demande de DICT), marquages, piquetages, sondage avec un camion aspirateur.
En conclusion, malgré un risque permanant, les entreprises de travaux publics mettent tous les moyens nécessaires afin de ne pas endommager les réseaux existants afin d’assurer la sécurité de ses équipes, ainsi que de limiter la gêne que cela pourrait occasionner.
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